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Handicapés et valides à égalité
Faire admettre aux pouvoirs publics que la pratique de la moto n’est pas incompatible avec le handicap physique, et permettre aux personnes handicapées de décrocher ou de régulariser leur permis moto : voilà les principaux objectifs de l’association Handicaps Motards Solidarité. Mobilisée contre les préjugés, la méconnaissance de la question du handicap, mais aussi contre une législation incomplète, HMS rassemble motards handicapés et valides et finance son action par les cotisations de ses adhérents, les dons, ainsi que le soutien de ses partenaires, parmi lesquels la Mutuelle des Motards. En s’impliquant aux côtés des motards handicapés, les bénévoles d’HMS leur ouvrent (ou rouvrent) le chemin du 2-roues motorisé, lorsqu’ils souhaitent passer leur permis moto ou le régulariser après un accident ou une grave maladie. Pour cela, l’association met à leur disposition des véhicules adaptés, la Mutuelle des Motards se chargeant de les assurer pendant le temps nécessaire à leur formation, dans la moto-école de leur choix.
Des machines adaptées
Si les avancées techniques en matière d’équipement de véhicules permettent à des personnes handicapées de conduire une moto ou un side-car, la législation n’a pas suivi en ce qui concerne les permis de conduire. Aujourd’hui, aucune structure ne dispose en France d’un véhicule adapté permettant le passage ou la régularisation du permis moto. À l’inverse, l’association HMS possède 3 motos solo et un side-car école, munis d’aménagements interchangeables. L’association sert donc de relais entre la moto-école, l’administration qui délivre l’autorisation de passer le permis et l’assureur.
Un permis comme un autre
Les membres d’HMS souhaitent, par leur action, faire entrer dans les mœurs le permis moto handicapé, tant l’écart reste grand avec les solutions existantes pour les personnes handicapées souhaitant se déplacer en voiture. Pour sensibiliser le grand public à son action, HMS expose régulièrement, dans les événements motards rassemblant personnes handicapées et motards valides, des véhicules munis d’aménagements et de finitions soignées, ce qui ne manque pas de susciter à chaque fois l’admiration et le respect des motards passionnés de mécanique. Des motards épatés par les solutions techniques déployées afin de permettre à leurs homologues d’accéder aux commandes de leur engin malgré des handicaps lourds (amputation ou paralysie d’un membre supérieur ou inférieur, paraplégie).
La mission commence à porter ses fruits puisque de plus en plus de motards s’adressent à HMS pour passer leur permis. En revanche, beaucoup de travail reste à faire y compris au sein du monde motard, et notamment en matière de compétition. Aujourd’hui, seuls quelques pilotes arrivent à décrocher une licence enduro, trial ou rallye.
Quand je me protège je paye moins cher ! Pour tout achat d’un équipement de protection spécialement adapté à la pratique du 2-roues : on vous rembourse jusqu’à 50€ !
Qui peut en bénéficier ?
Vous êtes concernés si :
Vous êtes sociétaire et vous avez un contrat en cours
Et que vous avez acheté un équipement de protection au cours de cette période
Un remboursement jusqu’à 50€ sera fait sur votre contrat
Quels équipements sont concernés ?
La protection pour vous …
La protection des utilisateurs de 2 et 3 roues motorisés avec le remboursement de l’équipement obligatoire (casque et gants) et non obligatoire (dorsale, airbag, chaussures, bottes, pantalons et blousons).
Les équipements de protection des nouvelles mobilités (casque, coudières, genouillères et gants) sont aussi inclus dans l’engagement prévention, si le sociétaire assure un tel engin.
…pour votre véhicule…
Laprotection du véhicule avec une large gamme allant du système de traçabilité après-vol jusqu’à l’équipement de prévention en cas de chute (tampon, patins…) en passant par l’antivol.
Mais aussi vos pneumatiques !
Nouveau ! En 2024, la Mutuelle des Motards intègre les pneumatiques moto neufs aux équipements éligibles à l’offre.
Comment bénéficier de l’offre Engagement Prévention ?
Acheter un équipement de protection corporelle adapté à la pratique de la moto ou à celle des nouvelles mobilités urbaines dans le magasin ou site e-commerce de votre choix entre le 1er mars et le 31 mars 2023. (Cumulable avec nos différentes offres partenaires à consulter ici)
Déposer une copie de la facture d’achat nominative :
Pour les particuliers : Dans la rubrique « mes avantages » de votre Espace Perso au plus tard le 07 avril 2024
Pour les professionnels : Dans votre Espace Pro cliquez sur « Faire une demande » > « Envoyer des documents » > « Finaliser mon contrat ». Il vous suffit de remplir le formulaire et d’y joindre la copie de votre facture d’achat.
Avoir un contrat en cours au jour du remboursement
Un remboursement jusqu’à 50€ sera envoyé sous 3 mois
Pour bénéficier de l’offre déposez votre facture ici :
Traumatisme aussi bien affectif que financier, le vol d’un 2-roues est toujours une épreuve. Attentive aux évolutions du marché de la protection moto, et soucieuse d’innover pour les sociétaires, la Mutuelle des Motards vient de faire évoluer ses conditions d’acceptation des traceurs GPS. Le but : élargir les possibilités de s’équiper et augmenter les chances de retrouver les véhicules volés.
La charge vol, qu’est-ce que c’est ?
Dans les cotisations d’assurance que payent les sociétaires, une grande partie est destinée à la « charge vol » que subit un assureur (tentative de vol ou vol accompli). Pour faire baisser cette charge, seuls deux leviers existent :
Augmenter le nombre de motos retrouvées. En France, le « taux de découverte » est faible : moins d’1 moto sur 3 sera retrouvée (contre plus d’une voiture sur 2). Plus un véhicule est retrouvé rapidement, plus les chances de le retrouver en bon état augmentent, et il est certain que les sociétaires préfèrent largement récupérer leur véhicule qu’un simple chèque.
Un traceur GPS permet, sur un 2 roues, d’augmenter ce taux de découverte et certains fournisseurs annoncent même des taux allant au-delà des 75%. C’est pour cela que la Mutuelle des Motards a choisi de rendre ces traceurs plus accessibles aux sociétaires, en les acceptant comme « moyen de protection »* et en proposant des réductions exclusives aux sociétaires pour l’achat d’un traceur.
Qu’est-ce qu’un traceur ?
Un traceur permet, lorsqu’il est actif, de transmettre les coordonnées GPS d’un 2-roues soit auprès de l’entreprise qui fournit le traceur soit directement sur une application mobile accessible au motard. Ce traceur permet parfois même d’alerter un motard en cas de mouvement impromptu de son véhicule.
Très dynamique, le marché des traceurs propose des outils qui évoluent rapidement et avec des produits variés et des prix de plus en plus bas. Auparavant limité à une pose par un professionnel, de nombreux acteurs proposent désormais des solutions à poser soi-même, et parfois même sans abonnement (ou incluant l’abonnement dans le prix d’achat)
Nouveauté : la Mutuelle des Motards accepte des traceurs comme moyen de protection
Jusqu’ici la Mutuelle des Motards n’acceptait, comme « moyen de protection », que les traceurs avec abonnement et pose professionnelle. Les conditions évoluent et la Mutuelle accepte aujourd’hui les solutions « en pose libre » pour les partenaires signataires de la charte d’engagement. Tous les traceurs GPS dont l’entreprise a signé la Charte (voir la liste ci-dessous) sont acceptés depuis le 18 février comme « moyen de protection ».Cela signifie qu’en cas de vol, et selon votre contrat, le montant de votre franchise peut être réduit si vous étiez équipé d’un traceur en fonctionnement au moment du vol.
De nombreux partenaires ont d’ores et déjà signé la Charte Mutuelle ! Ce qui permet aux sociétaires de trouver un traceur adapté à leur budget et à leur utilisation. On peut distinguer 3 typologies de produits :
Les traceurs « Aveugle »
Posé par un professionnel dont lui seul connait l’emplacement, le traceur aveugle ne nécessite aucune intervention du motard, et le propriétaire ne dispose d’aucun accès à la géolocalisation de son véhicule. En cas de vol et après le dépôt de plainte, c’est le prestataire qui déclenchera la recherche.
S’Pion
Les traceurs « Temps réel »
À installer soi-même ou par un professionnel, celui-ci est aussi relié à la batterie de la moto et permet d’envoyer très fréquemment la position GPS du véhicule (toutes les secondes voire plusieurs fois par seconde). Cela permet un suivi détaillé sur une application smartphone dédiée. Ce système est très précis et ouvre de nouvelles fonctionnalités comme la gestion des roadbooks ou parfois même l’usage circuit.
Georide
Monimoto
S’Pion
Sentidrive
Tecno Globe
Trakmy
Les traceurs « Nomades »
Boitiers autoalimentés (donc à recharger régulièrement), souvent de la taille d’une clé USB, il est en pose libre et est facilement déposé sous la selle ou dans un rangement de la moto. Afin de ne pas trop consommer de batterie, il envoie la position GPS à l’application de manière moins fréquente (toutes les 5 à 10 minutes) mais alerte le propriétaire en cas de mouvement du véhicule, et en cas d’entrée ou de sortie d’une zone définie. C’est souvent la solution la moins onéreuse.
Pour équiper les sociétaires, la Mutuelle des Motards propose de profiter de réductions exclusives allant de la remise à l’achat jusqu’à la prise en charge de la franchise vol si le véhicule n’est pas retrouvé !**
Seuls les traceurs GPS d’une des marques signataire de la Charte d’engagement avec la Mutuelle sont reconnus comme moyen de protection contre le vol. L’attestation pour prouver que le traceur était bien en état de marche lors du vol est à demander au fabriquant du traceur. Les captures d’écran de l’application smartphone ne font pas office de preuve de fonctionnement.
*Uniquement pour les partenaires signataires de la Charte Mutuelle des Motards ** découvrez le détails des bons plans partenaires sur la page dédiée
Après plusieurs aller-retours entre l’Assemblée nationale et le Sénat, le calendrier et les conditions de mise en application des Zones à faibles émissions mobilités (ZFEm) ont été approuvés en juillet dernier. Dans la foulée, la loi « Climat et Résilience » comprenant cette mesure a été promulguée le 22 août. Avez-vous encore le droit de circuler avec votre 2-roues en ville ? Pour savoir quel est l’impact, présent et futur, de cette loi sur vos déplacements urbains et péri-urbains, suivez notre guide.
Quelles sont les restrictions de circulation imposées par les ZFE ?
Les véhicules les plus polluants sont interdits de circuler dans les ZFE du lundi au vendredi de 8 h à 20 h, sauf les jours fériés. Tous les véhicules routiers sont concernés : voitures, poids lourds, bus, autocars, 2-roues, véhicules utilitaires (sauf engins agricoles et engins de chantier)
Le certificat qualité de l’air, appelé « vignette Crit’air », détermine l’aptitude à circuler ou non dans les ZFE. Il est basé sur la date de première immatriculation ou la norme EURO du véhicule ainsi que son type de motorisation.
Le périmètre d’une ZFE doit être matérialisé par des panneaux de signalisation.
Que risquez-vous en cas de contrôle ?
Si vous vous déplacez dans une ZFE avec un véhicule non autorisé ou sans vignette Crit’Air, vous êtes passible d’une amende pouvant aller jusqu’à 450 €. En général, il s’agit d’une amende forfaitaire de 68 €.
Comment sont mises en place les ZFE ?
Initialement prévue pour le début de l’année 2021, la mise en place des ZFE a été bouleversée par la situation sanitaire. Les agglomérations concernées ont pour l’instant toute latitude pour définir les critères d’accès, les plages horaires ou le périmètre géographique de leur ZFE. Et les modalités de mise en œuvre sont encore au stade de projet dans la plupart d’entre elles. Ainsi, les catégories de véhicules concernés ne sont pas les mêmes d’une ZFE à l’autre. Actuellement, seule la Métropole du Grand Paris a décidé d’interdire certains 2-roues motorisés. À terme, une harmonisation du dispositif sur la base des modalités appliquées dans cette Métropole devrait concerner tous les véhicules, 2-roues motorisés compris, en fonction de leur classement Crit’air.
Quelles sont les agglomérations concernées par la mise en place de ZFE ?
Cinq collectivités ont d’ores et déjà mis en place leur ZFE :
Métropole de Lyon
Grenoble-Alpes-Métropole
Ville de Paris
Métropole du Grand Paris (périmètre de l’A86)
Reims
Sept autres métropoles doivent obligatoirement mettre en place leur ZFE d’ici fin 2021 :
Métropole d’Aix-Marseille-Provence
Métropole Nice-Côte d’Azur
Métropole Toulon-Provence-Méditerranée
Toulouse Métropole
Montpellier-Méditerranée Métropole
Eurométropole de Strasbourg
Métropole Rouen-Normandie.
La loi « Climat et Résilience » rend obligatoire la mise en place de ZFE dans toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants d’ici le 31 décembre 2024, soit une trentaine de collectivités de plus qui seront concernées.
Votre 2-roues est-il encore utilisable dans les ZFE, et si oui, jusqu’à quand ?
(données septembre 2021)
Paris :
Depuis le 1er janvier 2017, les 2-roues motorisés classés Crit’air 5, (immatriculés avant le 31 mai 2000), sont déjà concernés dans Paris intra-muros.
Métropole Grand Paris :
1er juin 2021 : les 2-roues motorisés classés Crit’air 4 (immatriculés avant le 1er juillet 2004) sont interdits en semaine, de 8 h à 20 h.
1er juillet 2022 : les 2-roues motorisés classés Crit’air 3 (immatriculés avant le 1er janvier 2007) seront interdits en semaine, de 8 h à 20 h.
1er janvier 2024 : les 2-roues motorisés classés Crit’air 2 (immatriculés avant le 1er janvier 2017 ou 1er janvier 2018 pour les cyclomoteurs) seront interdits en semaine, de 8 h à 20 h.
1er janvier 2030 : tous les véhicules thermiques seront interdits en semaine, de 8 h à 20 h.
Lyon :
Les mesures de restriction de la ZFE ne concernent pas les 2-roues motorisés.
Reims :
Les mesures de restriction de la ZFE ne concernent pas les 2-roues motorisés.
Toulouse :
1er janvier 2023 : les 2-roues motorisés classés Crit’air 4, 5 et non-classés ne pourront plus circuler.
1er janvier 2024 : les 2-roues motorisés classés Crit’air 3 ne pourront plus circuler.
Grenoble :
Les mesures de restriction de la ZFE ne concernent pas les 2-roues motorisés.
Autres agglomérations :
Pas encore de critères rendus publics.
Aurez-vous droit à des aides pour changer de 2-roues motorisé ?
La prime à la conversion, versée en cas de mise au rebut d’un véhicule polluant, ne concerne pas les 2-roues motorisés. Le bonus écologique pour un 2 ou 3-roues à moteur électrique de 2 kW ou plus peut atteindre 900 €. Les critères d’éligibilité sont ici .
Votre moto de collection peut-elle rouler dans une ZFE ?
Seuls les véhicules dont le certificat d’immatriculation porte la mention « Collection » sont exemptés de restriction de circulation dans les ZFE, et pour l’instant uniquement dans la métropole du Grand Paris.
Les critères d’éligibilité au statut de véhicule de collection sont définis par le Code de la Route (article R 311-1). Ils précisent que le véhicule doit avoir été immatriculé pour la première fois il y a au moins trente ans, qu’il n’est plus produit en neuf, et enfin, maintenu dans sa configuration d’origine.
Pour obtenir un certificat d’immatriculation collection, vous devez d’abord solliciter la Fédération française des véhicules d’époque (FFVE) afin qu’elle vous délivre une attestation de datation et caractéristiques. Muni de ce document, vous pourrez remplir votre demande de certificat d’immatriculation auprès de l’Agence Nationale des Titres Sécurisés (ANTS).
Attention, la dérogation pour les véhicules de collection ne permet pas de circuler dans un cadre professionnel, ou d’effectuer les trajets quotidiens entre le domicile et son lieu de travail.
Pouvez-vous circuler si vous avez souscrit un contrat « Collector » à la Mutuelle ?
Attention, le fait d’être titulaire d’un contrat « Collector » ne vous garantit pas l’autorisation de circuler dans les ZFE car nos critères d’éligibilité à ce contrat sont plus étendus que la définition de véhicule de collection. En effet, ce contrat couvre aussi les motos d’exception ayant marqué leur époque, même si elles sont âgées de moins de trente ans, ainsi que les motos antérieures à 1970 même si elles ne sont pas immatriculées en collection.
Quelle est la position de la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC) sur les ZFE ?
Cela fait maintenant une dizaine d’années que la FFMC avertit de la nuisance potentielle des ZFE sur notre mobilité, en fait depuis leur apparition sous l’acronyme de ZAPA (Zone d’Action Prioritaire pour l’Air) ! Et les voilà instaurées, sans aucune information préalable des citoyens ni dispositions éducatives. Ce système, uniquement basé sur la restriction et la sanction, est incompréhensible pour les usagers. Non seulement il est très complexe dans ses dispositions mais en plus, sa mise en œuvre peut varier d’une agglomération à une autre. Et depuis le début, nous soulignons l’aspect inégalitaire et injuste de ce dispositif, qui n’est même pas vraiment écologique. En effet, si vous avez les moyens de vous acquitter du malus de 30 000 €, vous pouvez continuer à polluer dans les rues de Paris à votre guise au volant d’un bolide qui consomme 20 l/100km au ralenti ! Et pendant ce temps, les plus défavorisés sont ceux qui vont en souffrir le plus parce qu’ils n’ont pas les moyens de changer de véhicule, avec ou sans aide de l’État. Dans les faits, cette interdiction de déplacement s’apparente à une véritable assignation à résidence !
précise Didier Renoux, chargé de communication à la FFMC.
Julien Mandois, 32 ans, est sociétaire de la Mutuelle. Il roule au quotidien sur une Suzuki 1200 Bandit. En 2018, à la suite d’une opération d’une tumeur à l’oreille interne, il décide de donner libre cours à sa passion, la compétition moto. Au guidon d’une Yamaha R6, il enchaîne alors les séances de roulage sur circuit et les courses de côte, avec un seul et unique leitmotiv : « Ne rien remettre à demain ».
CARPE DIEM
Tes débuts en compétition ne se sont pas vraiment déroulés comme tu l’imaginais ?
C’est le moins qu’on puisse dire ! Après une première saison 2019 où j’ai pu participer à deux courses de côte du championnat de France de la montagne en catégorie promotion, l’an dernier, j’ai expérimenté malgré moi le « high-side » lors d’un entraînement sur le circuit du Vigean (la roue arrière dérape puis raccroche brutalement – NDLR). L’effet catapulte m’a éjecté violemment de la moto et la réception m’a coûté une commotion cérébrale et la fracture de la vertèbre T12. Six mois de rééducation plus tard, j’ai enfin pu préparer ma saison 2021 de championnat de France de la montagne, cette fois en catégorie Supersport.
Au début, les réticences de ton entourage devaient peser lourd, non ?
Pas du tout, ma famille et mes amis me soutiennent à 100 % ! C’est aussi le cas de mes partenaires, qui m’aident pour la préparation physique, la mise au point de la moto et toutes les questions d’intendance. Par contre, si je m’étais contenté des avis médicaux et des contre-indications induites par la maladie, je n’aurais rien fait du tout. Lors du premier diagnostic, on ne me donnait que trois mois d’espérance de vie… Cela m’a poussé à me battre, à surmonter les douleurs qui m’accompagnent presque au quotidien. Aujourd’hui, rien n’est encore gagné de ce côté-là, car le risque de récidive reste très élevé. Mais je sais qu’il faut se battre pour y arriver. Si tu n’essaies pas, tu as déjà perdu !
Pourquoi as-tu choisi de rouler en course de côte dans le championnat de France de la montagne ?
C’est un format de compétition très exigeant, très intense ! Les épreuves se déroulent sur route, le long d’un tracé de quelques kilomètres seulement. Et comme chaque épreuve comprend trois manches d’essai et trois manches de course qui ne durent chacune qu’une poignée de secondes, c’est de la vitesse pure. J’ai donc besoin d’une concentration maximale et d’une mémoire à toute épreuve. C’est un défi de plus que je lance contre la maladie. Et ce challenge, je suis trop fier de le relever pour moi-même aussi. Cette année, j’ai réussi à participer à toutes les épreuves du championnat, en réalisant des temps corrects. Reste encore la finale fin septembre. Et chaque fois que je me place sur la ligne de départ, j’ai les larmes aux yeux !
Quels sont tes objectifs pour les prochaines saisons ?
D’abord, je compte participer à une ou deux courses supplémentaires dans le cadre du championnat international de courses sur route (International Road Racing Championship). Puis j’envisage également de participer à un rallye routier, pour m’initier à d’autres formats de course plus longs. Ensuite, l’objectif est de pouvoir participer au Manx GP, qui est l’antichambre du Tourist Trophy. Et bien sûr, le rêve ultime est de m’engager au T.T, mais la sélection est rude et le chemin encore long…
À travers ton expérience, souhaites-tu faire passer un message aux autres motards ?
Sur mon dossier de presse de pilote, c’est la Faucheuse qui se tient derrière mon casque. C’est une forme de pied de nez, une façon de prendre le destin à rebrousse-poil ! Donc, si je peux apporter de l’espoir à d’autres personnes malades et les inciter à se réaliser dans leur passion, je serai satisfait. Ensuite, j’ai aussi envie de sensibiliser les gens qui traversent une période délicate au fait que surmonter les épreuves, ce n’est pas seulement lutter, mais surtout devenir plus fort. Croyez en vos rêves !
Depuis toujours, nous mettons un point d’honneur à promouvoir les droits de nos sociétaires, notamment en réinventant sans cesse notre métier. Au quotidien la Mutuelle œuvre pour la sensibilisation et la prévention, primordiales pour votre protection. Mais, en cas de sinistre, c’est à nous de prendre le relais pour vous accompagner et assurer votre indemnisation. À la Mutuelle, nous défendons vos intérêts et mettons tout en œuvre pour vous assurer une indemnisation juste et équitable. Une indemnisation experte 2-roues et mutualiste : voilà ce que nous vous promettons.
Responsabilité non prouvée : on est de votre côté !
À la Mutuelle des Motards et en cas de sinistre, le gestionnaire de votre dossier va vous défendre en utilisant le droit commun, souvent plus avantageux que les conventions appliquées par d’autres assureurs.
En l’absence de preuve de faute, nous attribuons 0% de responsabilité à nos sociétaires.
Lors d’accidents avec un tiers identifié, sans témoins, preuves ou éléments de contexte, la plupart des assureurs appliquent une responsabilité à 50-50. À la Mutuelle des Motards, ça n’existe pas ! Jusqu’à preuve du contraire, nos sociétaires sont considérés non responsables et sont donc indemnisés, n’ont pas de franchises et pas de malus*.
Cette gestion vous garantit la prise en compte de tous les éléments constituant votre sinistre et représente la meilleure façon d’être indemnisé de manière juste et équitable.
Concrètement, ça donne quoi ?
Prenons l’exemple de deux véhicules circulant en sens opposé et qui se percutent en se croisant. Sans preuve de faute commise (empiètement sur la voie) par l’un des deux conducteurs, les conventions entre assureurs appliquent une responsabilité à 50-50. La Mutuelle s’appuie sur le droit commun pour défendre son sociétaire et assurer un droit à indemnisation intégrale.
Votre moto prise en main par des experts du monde motard
Les experts ont également un rôle primordial dans le calcul de votre indemnisation. Ce sont eux qui interviennent sur le véhicule après un sinistre, pour estimer précisément l’ampleur et le montant des dégâts subis.
Quoi de mieux qu’un expert spécialiste, formé et sensibilisé au monde motard pour comprendre les dossiers des conducteurs de 2 et 3-roues ?
À la Mutuelle, nous faisons intervenir sur tous nos sinistres des experts indépendants qui ont, en grande majorité, suivi une formation spécifique pour obtenir le label « Expert 2-roues motorisés Mutuelle des Motards ». Cette formation, proposée et conçue par la Mutuelle des Motards en collaboration avec l’institut de formation IFOR2A, est constituée de plusieurs volets permettant à l’expert d’acquérir et/ou renforcer ses connaissances techniques et juridiques, indispensables à une expertise juste de votre 2-roues.
Concrètement, ça donne quoi ?
Prenons l’exemple de Bertrand, heureux propriétaire d’un Ducati Monster depuis 8 ans maintenant. Après un malheureux accident, la moto de Bertrand doit partir au garage… Bertrand connaît un petit réparateur indépendant, et souhaite lui confier cette bécane avec laquelle il a tant bourlingué. À la Mutuelle, vous êtes libre de choisir votre réparateur si celui que nous vous conseillons ne vous convient pas et nous adressons une prise en charge directement à ce réparateur (même s’il n’est pas notre partenaire) pour vous éviter de faire l’avance des frais de réparation.
Notre expert vient ensuite faire son estimation : le montant des réparations s’approche de la valeur du véhicule de Bertrand ? Grâce à sa spécialisation 2-roues l’expert parvient à une estimation au plus juste ce qui nous permet de proposer la réparation de la Ducati et de conserver cette moto qui accompagne notre sociétaire depuis toutes ces années. C’est aussi ça, l’avantage de nos experts spécialisés : ils parlent votre langage !
Pour toute information complémentaire, rapprochez-vous de votre courtier, interlocuteur privilégié.
*Selon les modalités du contrat et le contexte du sinistre.
Grâce au partenariat avec Le Courtier Du Motard, filiale à 100% de la Mutuelle des Motards, le Groupe Leader Insurance poursuit sa diversification stratégique en lançant de nouvelles offres d’assurance pour les 2 roues, 3 roues, quads et nouvelles mobilités, via sa branche Spring.
Depuis la pandémie de COVID, l’intérêt pour des modes de transport plus légers et écologiques n’a cessé de croître, avec une augmentation de 8 % du marché des 2 roues en 2024. Dans ce contexte, la collaboration entre la Mutuelle des Motards et Leader Insurance s’impose comme une évidence.
Une expertise partagée et une approche responsable
La Mutuelle des Motards et Le Courtier Du Motard sont reconnus pour leur proximité avec les assurés et leur capacité à concevoir des produits adaptés aux besoins des motards. Les garanties proposées sont développées par des motards, pour des motards, offrant ainsi une protection sur mesure.
Des offres sur-mesure pour tous les motards
Les nouvelles solutions d’assurance couvrent une large gamme de véhicules, du scooter au dragster, en passant par les motos 125, les motos de plus de 15 chevaux, les scooters 50, maxiscooters, et même les motos de circuit.
L’objectif est de proposer des offres inclusives, avec des règles de souscription accessibles, des garanties mutualisées et des tarifs justes, tout en excluant les résiliations arbitraires après un sinistre.
Ce partenariat permet d’élargir l’offre pour les nouvelles mobilités, en alliant innovation, proximité et engagement sociétal, dans la tradition de La Mutuelle des Motards.
En 2025, nous gardons le cap avec des nouveautés conçues pour répondre à vos attentes, optimiser et renforcer notre efficacité au quotidien au bénéfice des sociétaires.
Nous prévoyons d’autres évolutions pour mieux satisfaire les sociétaires et améliorer leur expérience. Parmi elles, la signature électronique des conditions particulières.
La Mutuelle des Motards et Le Courtier Du Motard restent pleinement engagés à vos côtés ! Nous capitalisons sur nos réalisations 2024 pour aborder cette nouvelle année dans une approche d’amélioration continue.
Restez connectés et suivez notre actualité également sur notre compte officiel LinkedIn !
Toute l’équipe du Courtier Du Motard vous présente ses vœux les plus sincères et vous remercie pour votre confiance et votre fidélité.
En 2025, notre priorité reste claire : vous accompagner en partageant notre expertise et nos solutions sur-mesure pour répondre aux attentes des utilisateurs de 2/3 roues. Votre succès est la clé pour garantir la satisfaction de vos clients, qu’il s’agisse de particuliers ou de professionnels, passionnés de nouvelles mobilités ou de motos.
Fort de l’expertise reconnue de la Mutuelle des Motards, LCDM met tout en œuvre pour vous offrir des outils performants, des services innovants et un accompagnement personnalisé.
Ensemble, nous veillons à proposer des garanties de qualité, un conseil pointu et une prévention au service de la liberté et de la sécurité sur les routes.
Vous êtes plus de 3 000 à nous faire confiance !
Merci de continuer à construire avec nous un partenariat fiable et différenciant, apprécié pour sa simplicité et son efficacité.
🎉✨ Bonne et heureuse année 2025, placée sous le signe de la collaboration et de la passion partagée ! 🎉✨
Les journées d’hiver, parmi les plus courtes de l’année, obligent de nombreux conducteurs de deux-roues et utilisateurs de nouvelles mobilités à circuler dans l’obscurité. Dans ces conditions, il est crucial de garantir à la fois une bonne visibilité et une visibilité renforcée pour les autres usagers de la route. Voici un tour d’horizon des bonnes pratiques et équipements pour une conduite nocturne plus sûre.
Conduite nocturne : réduire les risques
Les conducteurs doivent adapter leur comportement aux particularités de la nuit :
Ralentir, même sur des parcours connus.
La nuit, la perception des reliefs, des distances et de la vitesse est altérée. De plus, le faisceau des phares, bien que rassurant, peut fausser les repères et focaliser le regard trop près du véhicule.
Augmenter les distances de sécurité.
Une distance accrue avec le véhicule qui précède laisse plus de temps pour anticiper tout danger potentiel.
Gérer l’éblouissement des phares.
Fixer les phares d’un véhicule opposé peut entraîner un effet de rémanence, altérant la vision. Il est recommandé de regarder loin devant et légèrement sur la droite de la voie pour limiter cet effet.
Optimiser le champ de vision.
Les conducteurs peuvent se caler sur le faisceau lumineux du véhicule qui les précède pour élargir leur champ de vision, tout en maintenant une distance suffisante pour ne pas éblouir son conducteur.
L’éclairage : un élément clé pour la sécurité
Une attention particulière doit être portée aux équipements d’éclairage pour maximiser leur efficacité :
Vérification des optiques de phare.
Leur propreté et leur bon état sont essentiels pour éclairer correctement la chaussée. En cas de besoin, réglez le faisceau pour éviter d’éblouir les autres usagers.
Remplacement des ampoules usées.
Les ampoules classiques (H1, H4, H7) perdent jusqu’à 50 % de leur efficacité après un an d’utilisation. Le remplacement préventif améliore la visibilité sans engendrer de coûts importants.
Utilisation des feux additionnels.
Les feux antibrouillards ou longues portées peuvent être utilisés dans des conditions adaptées (hors agglomération et en l’absence d’autres usagers). Les feux de brouillard doivent cependant respecter la réglementation en vigueur.
Éclairage arrière renforcé.
Certains clignotants multifonctions intègrent les feux de stop et augmentent la visibilité arrière. Des dispositifs rétroréfléchissants sur les top-cases et valises sont également recommandés.
Réduction du rétroéclairage du tableau de bord.
Diminuer l’intensité des voyants limite les distractions et les reflets.
Équipement adapté : mieux se protéger et être vu
Les équipements jouent un rôle crucial pour assurer la sécurité des conducteurs :
Vêtements rétroréfléchissants.
Les blousons, pantalons et chaussures équipés de bandes réfléchissantes améliorent la visibilité. Éviter les vêtements sombres et équipez également votre passager.
Casque homologué et visible.
Les autocollants réfléchissants sont obligatoires sur les casques pour renforcer leur visibilité (amende de 135 € en cas de non-conformité).
Vêtements chauds pour l’hiver.
Les partenaires équipementiers (Speedway, Motoblouz, Maxxess, etc.) proposent des vêtements adaptés aux basses températures.
État de la visière du casque.
Une visière rayée ou voilée réduit considérablement la vision. Utiliser un polish rénovateur ou remplacer la visière est essentiel pour garantir une bonne visibilité.
Lunettes de conduite de nuit.
Des lunettes à verres jaunes augmentent les contrastes et réduisent l’éblouissement.
Zoom sur les nouvelles mobilités
Les utilisateurs d’équipements de déplacement personnel motorisés (EDPM) et de vélos doivent également adapter leur conduite nocturne :
Respect des obligations d’éclairage.
Les EDPM et vélos doivent être équipés de feux avant (blanc ou jaune) et arrière (rouge). Des dispositifs supplémentaires comme des sacs équipés de LEDs peuvent renforcer la visibilité.
Gilets haute visibilité.
Ces équipements, conformes à la réglementation, sont fortement recommandés pour accroître la sécurité.
Vigilance en zones non éclairées.
De nombreuses communes diminuent ou éteignent l’éclairage public la nuit. Les utilisateurs doivent donc redoubler de prudence dans ces zones.
La pluie, redoutée par une grande majorité des motards, scootéristes et autres utilisateurs de 2-roues motorisés, complique les conditions de circulation et exige des précautions particulières. Pour continuer à rouler en toute sécurité malgré les intempéries, voici des conseils pratiques :
S’équiper pour affronter la pluie
Une tenue adaptée est le premier rempart contre les désagréments liés aux intempéries :
Opter pour des vêtements étanches et fonctionnels : Privilégier des équipements offrant une grande liberté de mouvement pour éviter toute gêne dans les manœuvres, surtout en situation d’urgence. Les jonctions (poignets, chevilles, cou) doivent être bien protégées pour empêcher l’infiltration d’eau. Une combinaison de pluie, ample et facile à enfiler, reste un incontournable pour les trajets sous de fortes averses.
Soigner la visibilité : Une visière de casque en bon état est essentielle, tout comme un écran antibuée. Les produits déperlants et les accessoires comme les raclettes intégrées aux gants ou ajoutées en complément permettent de maintenir un champ de vision clair.
Équipements additionnels : Gants, bottes et pantalons équipés d’inserts imperméables garantissent confort et protection, même par temps de pluie prolongée.
Préparer son 2-roues pour la saison des pluies
Un entretien régulier permet de réduire considérablement les risques liés aux intempéries :
Éclairage et optiques : Remplacer les ampoules halogènes usées pour garantir une bonne visibilité, surtout en fin de journée ou sous une pluie dense.
Pneumatiques : Veiller à l’état des pneus, car la profondeur des sculptures est déterminante pour l’évacuation de l’eau. Une pression adaptée est également essentielle pour conserver une adhérence optimale sur chaussée humide.
Systèmes électroniques et suspensions : Sur les modèles équipés, activer les réglages spécifiques à la pluie ou l’antipatinage et ajuster les suspensions pour améliorer l’amortissement et la tenue de route.
Éviter les pièges de la route mouillée
Certaines zones et conditions requièrent une vigilance accrue :
Surfaces glissantes : Marquages au sol, plaques d’égout, rails ou pontages métalliques deviennent particulièrement traîtres sous la pluie.
Premières averses : Lorsque l’asphalte est chargé de dépôts d’hydrocarbures, ces résidus remontent à la surface et rendent la chaussée glissante. Ils se reconnaissent aux irisations multicolores visibles sur l’eau.
Zones boisées ou agricoles : Feuilles mortes et résidus divers peuvent rendre certaines routes dangereuses. Évitez également les flaques d’eau, dont la profondeur est difficile à évaluer.
Adapter sa conduite sous la pluie
Enfin, quelques ajustements dans le comportement permettent de limiter les risques :
Anticiper : Doubler les distances de sécurité et réduire sa vitesse pour compenser l’allongement des distances de freinage.
Rester souple : Agir en douceur sur les commandes, notamment au freinage. L’utilisation modérée du frein arrière stabilise la moto en limitant les transferts de masse.
Choisir ses trajectoires : Rouler sur les traces des autres véhicules peut être utile lors de pluies fortes, mais il est généralement préférable de conserver des trajectoires habituelles pour optimiser l’adhérence.
En appliquant ces conseils, motards, scootéristes et autres utilisateurs de 2-roues motorisés pourront traverser les intempéries en toute sécurité.
Au cours des dernières années, une nouvelle tendance en matière de mobilité urbaine a émergé, caractérisée par la prolifération de trottinettes électriques, hoverboards, monoroues et autres engins de déplacement personnel motorisés (EDPM) dans les rues. Ces véhicules innovants transforment progressivement les habitudes de déplacement des citadins, offrant une alternative rapide et flexible aux moyens de transport traditionnels. Mais attention, liberté ne veut pas dire absence de règles ! Saviez-vous que l’assurance est désormais obligatoire pour ces petits bolides ? De l’utilisation quotidienne à l’utilisation ponctuelle, faites le point sur les réglementations et recommandations à respecter !
Assurance EDPM : ce qu’il faut savoir
Les Engins de Déplacement Personnel Motorisés (EDPM) sont considérés comme des véhicules à part entière. Depuis octobre 2019, une assurance responsabilité civile VTM (véhicules terrestres à moteur) est obligatoire pour tout utilisateur. Elle couvre les dégâts qu’ils pourraient causer aux autres, que ce soit des dommages matériels ou corporels. Et attention, la responsabilité vie privée comprise dans le contrat d’assurance habitation du conducteur ne fonctionne pas. Il lui faut un contrat spécifique comme pour sa moto ou sa voiture.
Pourquoi c’est important ?
Un accident peut vite arriver, et si le conducteur d’EDPM n’est pas assuré, il devra payer les réparations ou frais médicaux de sa poche. Une note salée, qu’on conseille d’éviter ! En plus de la responsabilité civile, une protection corporelle est fortement recommandée pour une protection maximale, aussi bien pour le conducteur que pour les éventuels autres usagers de la route !
La sécurité avant tout
Les EDPM sont pratiques, mais ils demandent une attention particulière pour rouler en toute sécurité. Voici les équipements essentiels pour rester en sécurité :
Feux avant et arrière : pour être vu à toute heure, même la nuit.
Dispositifs rétroréfléchissants : indispensables pour être bien visible, surtout quand la lumière manque.
Systèmes de freinage efficaces : on ne sait jamais quand on devra s’arrêter en urgence !
Avertisseur sonore : pour prévenir les piétons ou les autres véhicules.
Le casque : pas obligatoire mais tellement conseillé
Le port du casque n’est pas obligatoire pour les trottinettes électriques en ville, mais c’est vivement conseillé. Une simple chute peut avoir des conséquences importantes. CertiMoov teste les casques selon leur efficacité à protéger des lésions cérébrales, alors autant prendre les meilleures précautions.
Les règles de circulation à ne pas oublier
Pas de trottoirs ! Les EDPM doivent circuler sur les pistes cyclables ou, à défaut, sur des routes où la vitesse est limitée à 50 km/h.
1 seule personne ! Sur un EDPM, interdiction de circuler à plusieurs.
Vitesse limitée à 25 km/h : au-delà, le conducteur risque une amende qui peut aller jusqu’à 1 500 € !
Respect des autres usagers : une conduite responsable rend la route plus agréable pour tout le monde.
Pour aller plus loin sur les réglementations à respecter, pensez à consulter le livret prévention réalisé par Securider, notre filiale prévention 2-roues. Ce guide propose des conseils pratiques pour les utilisateurs de nouvelles mobilités, afin de mieux appréhender les dangers de la route et circuler en toute sérénité. Vous y trouverez des informations précieuses sur les bons réflexes à adopter.
La Mutuelle des Motards : des garanties adaptées pour les nouvelles mobilités
L’expertise des 2-roues et des nouvelles mobilités permet à la Mutuelle des Motards de proposer des assurances pensées pour les utilisateurs de EDPM et de VAE (vélos à assistance électrique), avec les offres « ON Cycle » et « ON Street« .
Parmi les garanties :
Responsabilité Civile Véhicule Terrestre à Moteur : pour les dégâts que le conducteur pourrait causer à autrui.
Protection Conducteurs Solidaire : une exclusivité qui protège le conducteur, en cas d’accident avec une indemnisation jusqu’à 80 000€.
Garantie Casque : remboursement du casque du conducteur en cas d’accident, sans franchise, sans vétusté !
Défense Pénale et Recours : en cas de litige après un accident, le conducteur n’est pas seul.
Le petit plus : En cas de prêt d’engin ? Ces garanties sont acquises pour tous conducteurs autorisés !
Pour les VAE, sont disponibles, options comme la garantie vol et la garantie casse pour que le véhicule soit protégé en toutes circonstances.
Prendre soin de son EDPM ou VAE : les bons réflexes
Pour éviter les mauvaises surprises, un entretien régulier est indispensable. Découvrez les conduites à adopter :
Vérification de la pression des pneus : des pneus bien gonflés, c’est plus de sécurité et moins d’énergie dépensée.
Contrôle des freins : des freins en bon état, c’est la clé pour éviter un accident.
Entretien de la chaîne (pour les VAE) : une chaîne bien lubrifiée, c’est un pédalage fluide.
Rechargement de la batterie : après chaque sortie, il est important de ne pas laisser la batterie se décharger complètement. Il faut la stocker dans un endroit frais et sec.
Les motards rêvent d’un road trip à moto mais ne savent généralement pas par où commencer ? Plongez dans l’univers du road trip à moto avec la Mutuelle des Motards. Découvrez toutes les questions que se pose les motards afin de choisir la destination idéale, créer des itinéraires parfaits et anticiper les imprévus pour un voyage sans souci. Attachez vos casques, l’évasion commence ici !
Planifier le road trip idéal : les questions essentielles
Quelle est la destination de rêve des motards ?
Si certains motards rêvent de se balader sur les côtes bretonnes ou d’explorer les routes alpines, 82% des motards ont déjà réalisé un road trip.
Les motards choisissent des paysages qui les inspirent, qu’ils soient côtiers, montagnards ou historiques.
Qu’est-ce qui fait rêver les motards ?
Astuce pratique : Il est recommandé aux motards d’utiliser des applications comme Liberty Rider ou Vintage Ride pour découvrir des suggestions de destinations adaptées aux goûts de chacun. On peut retrouver les itinéraires populaires, les avis d’autres motards et les points d’intérêt locaux.
Quels paysages les font vibrer ?
64% des motards estiment que les paysages sont essentiels à un road trip réussi. Qu’ils soient attirés par les routes côtières, les sentiers de montagne ou les chemins historiques, il est important de trouver ce qui les motive.
Astuce pratique : En consultant les forums comme le routard et les sites spécialisés comme moto-trip, ils peuvent identifier les routes les plus pittoresques et les plus appréciées des motards. Ils peuvent également participer à des discussions en ligne pour obtenir des recommandations personnalisées.
Quelle est la distance idéale pour un road trip ?
Lors du road trip idéal, le motard parcourt en moyenne entre 100 et 300 km par jour. Cette distance permet d’explorer des paysages variés sans se fatiguer excessivement, tout en faisant des pauses régulières pour découvrir des attractions locales et échanger avec d’autres motards.
Quel budget peuvent-ils allouer ?
Le budget est crucial pour 39% des motards. Généralement, les motards planifient leurs dépenses en fonction de la durée, des hébergements et des activités afin d’éviter les mauvaises surprises. Réserver à l’avance est aussi un bon moyen pour obtenir les meilleures offres.
Astuce pratique : On recommande aux motards de rechercher des hébergements abordables comme les campings ou les auberges de jeunesse, et profiter des promotions et des réductions disponibles en ligne.
Quelle est la meilleure période pour partir ?
La période de l’année joue un rôle clé dans la planification d’un road trip. 34% des motards commencent à organiser leur voyage entre trois et six mois à l’avance pour profiter des meilleures conditions.
Astuce pratique : Il est essentiel de vérifier les prévisions météorologiques pour la période choisi du voyage et ajuster l’itinéraire en conséquence. Planifier éventuellement des activités alternatives en cas de mauvais temps.
Comment organiser un road trip ?
L’organisation comprend la planification de l’itinéraire, la réservation des hébergements et la préparation des bagages. La plupart des motards préfèrent tracer eux-mêmes leur itinéraire et choisissent les routes en fonction de leur état, des paysages et des virages.
Astuce pratique : Pour bien préparer un itinéraire, l’utilisations d’outils de planification comme Google Maps, Google Earth et des cartes papier sont indispensables. Il est également recommandé de réserver l’hébergements à l’avance et de planifier les arrêts pour optimiser l’expérience du voyage.
Préfèrent-ils partir seuls ou en groupe ?
61% des motards aiment partir en groupe pour partager des moments et s’entraider, mais près d’un sur cinq préfère l’introspection d’un voyage en solitaire.
Astuce pratique : Pour les motards qui souhaitent partir en groupe, il est important de discuter des attentes et des préférences de chacun pour harmoniser le voyage. De plus, préparer un itinéraire flexible qui permettra à chacun de profiter pleinement de l’expérience.
Trouver des idées de voyages
Où trouver de l’inspiration ? En explorant des plateformes et des applications comme Liberty Rider ou Vintage Ride, il est plutôt simple de trouver des idées de destination.
Cartes et roadbooks :Google Maps, Google Earth ou des cartes papier pour planifier des itinéraires. 68% des motards utilisent Google Maps, et 60% préfèrent encore les cartes papier pour une planification détaillée.
Gérer les imprévus en road trip
Les imprévus sont inévitables lors d’un road trip. Voici comment s’y préparer :
Applications indispensables
Liberty RideretCalimoto : Ces applications aident les motards à suivre un trajet précis, à recevoir des alertes en cas de problème et à trouver des routes pittoresques.
Utiliser un roadbook papier et une carte routière
60% des motards utilisent encore des cartes papier pour éviter les imprévus technologiques. En cas de panne de GPS, le roadbook papier sera précieux.
Astuce pratique : Faire en sorte de simplifier leurs notes pour qu’elles tiennent sur une feuille A5 par journée de roulage. Enfin, noter les points de repère importants et les distances entre chaque étape permet de faciliter la planification du road trip.
En cas d’accident ou de chute violente, il est impératif d’appeler directement le 18 pour bénéficier d‘aide et de soins rapidement.
Conseils de sécurité
Garder un roadbook visible : Il est recommandé de le placer à une hauteur adéquate pour rouler en toute sécurité.
Prévenir les pannes : 19% des motards craignent les pannes. Emporter des outils de base et une carte routière de secours permet d’anticiper les pannes éventuelles. Il est préconisé d’apprendre à effectuer des réparations simples et à reconnaître les signes de problèmes mécaniques.
Planifier un road trip à moto demande de la préparation et une capacité à gérer les imprévus. En définissant leurs envies, en choisissant les bons outils et en étant prêt pour l’inattendu, le voyage ne pourra qu’être mémorable et enrichissant.
La technologie avancée et les matériaux de haute qualité continuent de faire grimper les prix des deux-roues, attirant ainsi davantage les convoitises des voleurs. En effet, à la Mutuelle des Motards, nous avons observé une augmentation annuelle moyenne de 6% du coût des vols de motos non retrouvées au cours des cinq dernières années. Ce phénomène s’accompagne d’une sophistication croissante des méthodes employées par les criminels, qui peuvent désormais emporter une moto en un clin d’œil, souvent pour la faire disparaître à l’étranger.
Et non, cela n’arrive pas qu’aux autres !
Notre intention n’est pas de faire culpabiliser, mais plutôt d’alerter sur un problème croissant : le vol de 2-roues, qui a des répercussions significatives à bien des égards.
L’impact de ces vols est avant tout humain. La perte d’une moto ou d’un scooter, bien plus qu’un simple bien matériel, touche à l’espace personnel. Cela peut représenter un traumatisme. Que le deux-roues soit pour le conducteur un simple moyen de transport ou une passion, le vol de celui-ci représente une atteinte directe à sa LIBERTE.
Les répercussions financières sont également considérables. Plus il y a de vols, et plus ceux-ci concernent des véhicules de valeur, plus les coûts d’assurance augmentent. En tant que mutuelle, nous répartissons ces coûts entre tous nos membres afin de garantir une protection pour tous, quels que soient le type et l’âge du véhicule. Cela signifie malheureusement que des vols fréquents et coûteux augmentent les coûts pour la communauté entière des sociétaires.
Notre but est de réduire ensemble le nombre de vols, ce qui permettra de diminuer le coût de l’assurance. Être vigilant et prendre des mesures préventives peut vraiment faire la différence. C’est là l’essence même de l’esprit mutualiste : plus les conducteurs seront vigilants, moins il y aura de vols, moins les sociétaires paieront cher leur assurance.
Découvrez le PodCast « Parole d’experts : Le meilleur antivol pour votre 2-roues… c’est eux ! »
Le meilleur antivol ? C’est eux !
L’évolution constante de la criminalité autour du vol de 2-roues nous rappelle que la vigilance est notre meilleure alliée : notre meilleur antivol, ce sont eux. Plus que jamais, les motards et scootéristes doivent être attentifs et proactifs pour protéger leurs biens. Cela commence par l’adoption de mesures simples mais efficaces :
Multiplier les obstacles : Combiner plusieurs mesures de sécurité, comme un antivol mécanique, une porte, un portail ou tout autre emplacement de stationnement sécurisé. Privilégier donc le stationnement privé ou protégé. Il existe des initiatives de sites de garages partagés qui proposent des stationnements 2RM mutualisés dans les grandes villes de France.
Verrouiller toujours la direction : Sans forçage de l’antivol de direction, un vol ne peut souvent pas être indemnisé. Ce système, loin d’être infaillible, constitue le premier “retardateur”.
Attacher la moto ou le scooter à un point fixe : Quand c’est possible (selon le modèle du 2-roues, de l’antivol ou du lieu), il convient d’utiliser un antivol de classe SRA pour une sécurité optimale.
Privilégier les zones qui rendent le vol par enlèvement plus difficile : il est préférable pour le conducteur de 2-roues de marcher 100 mètres supplémentaires pour garer sa moto dans une zone dédiée, loin de la circulation des voitures, plutôt que de la laisser près de la file de circulation sur le trottoir.
Équiper la moto d’un traceur GPS lorsque ceci est possible : Cela n’empêche pas le vol, mais augmente considérablement les chances de récupérer la moto rapidement. Dans tous les cas, le conducteur ne doit pas intervenir seul. Le meilleur réflexe à adopter est d’appeler les forces de l’ordre pour aller chercher le deux-roues. Certaines marques de traceuraident même parfois à faire le lien avec les forces de police. Découvrez notre article « Traceurs GPS : la Mutuelle s’engage pour vous aider à retrouver votre moto volée ».
La Mutuelle des Motards propose plus de services pour protéger les conducteurs
L’engagement ne se limite pas à la prévention ; la Mutuelle des Motards soutient les sociétaires au travers d’offres spécifiques. Ainsi, dans le cadre de son opération « Engagement Prévention« , chaque sociétaire achetant un équipement de protection pour sa moto ou son scooter peut bénéficier d’un remboursement de 50 € sur sa cotisation annuelle. Le dispositif prend en charge la protection du 2-roues, notamment les antivols de classe SRA et les traceurs. De plus, depuis l’an dernier, l’évolution de la politique d’indemnisation prend en compte les traceurs autonomes dans le cadre de la réduction de franchise vol. Vos clients souhaitent s’équiper d’un traceur ? Profitez toute l’année de bons plans auprès de nos partenaires.
L’importance des factures ! Que ce soit pour les équipements, antivols, traceurs, ou tout élément ajouté au deux-roues, la facture est essentielle. En cas de vol, nous aurons besoin de ces factures ainsi que des doubles de clés pour traiter les dossiers.
Le TOP 10 des motos et scooters les plus volés en 2023
A la Mutuelle des Motards, l’information est la première des protections. C’est pourquoi chaque année le classement des motos et scooters les plus volés est publié. Non pour dissuader leur achat, mais pour encourager une vigilance accrue.
Top 10 des motos les plus volées en 2023
Position 12/2023
Modèle
Cylindrée
Marque
1
R1250GS
1250
BMW
2
TENERE 700
700
YAMAHA
3
R1250RT
1250
BMW
4
TRACER 9 GT
900
YAMAHA
5
MT-07 TRACER
700
YAMAHA
6
MT-10
1000
YAMAHA
7
MT-07
700
YAMAHA
8
MT-09
900
YAMAHA
9
AFRICA-TWIN
1000/1100
HONDA
10
STREET TRIPLE
765
TRIUMPH
Top 10 des scooters les plus volés en 2023
Position 12/2023
Modèle
Cylindrée
Marque
1
PCX
125
HONDA
2
T-MAX
530/560
YAMAHA
3
X-ADV
750
HONDA
4
LIBERTY
125
PIAGGIO
5
SH-I
125
HONDA
6
FORZA
125
HONDA
7
X-MAX
125
YAMAHA
8
T-MAX
500
YAMAHA
9
X-MAX
250
YAMAHA
10
VESPA (tous modèles)
125
PIAGGIO
Témoignage d’Argos : La réalité des vols de 2-roues
Pour compléter notre analyse, nous avons recueilli des informations précieuses auprès de Mickaël Beurrier, responsable opérationnel chez Argos. Organisme professionnel de l’assurance dont la Mutuelle est adhérente, Argos agit depuis 1984 dans l’intérêt général pour rechercher, identifier et récupérer les véhicules déclarés volés.
Comment à évoluer le nombre de découvertes de 2-roues volés ces dernières années ?
« Le nombre de découvertes de 2 roues volés a augmenté ces dernières années. En 5 ans, le taux de découvertes est passé de 26,5 % à 31,5 %. Sur cette même période, le nombre de vols de 2 roues a également augmenté. »
Le crime organisé s’intéresse-t-il de plus en plus aux 2-roues motorisés ?
« Effectivement, les vols sont de plus en plus ‘professionnels’ avec pour finalité de faire du ‘business’. Nous constatons une évolution de la finalité du vol de 2 roues avec une baisse du nombre de vols ‘d’opportunité’ et une augmentation du vol dans le but de revendre le 2 roues. Nous notons également une forte tendance à l’exportation des 2 roues volés en France. »
Quel est le mode opératoire le plus fréquent constaté ?
« Le vol par ‘enlèvement’ est actuellement la méthode la plus employée. Cela consiste à soulever le 2 roues et à le charger dans un utilitaire (parfois, ils utilisent un chariot ou un skate pour faciliter la manœuvre). Cette pratique permet de dérober très rapidement le véhicule. Même en cas d’antivol physique, les malfaiteurs sont équipés d’outillages portatifs pour le neutraliser ou découper le point d’ancrage. Suivant la distance pour aller dissimuler le 2 roues volé, les voleurs utiliseront la technique du ‘2 roues poussé’ avec l’aide d’un complice – souvent en scooter – qui pousse l’autre sur le 2 roues volé. Tenant compte des évolutions technologiques, les voleurs s’adaptent en utilisant un boitier électronique pour les modèles équipés de prise OBD pour contourner l’anti-démarrage. »
Quel serait votre conseil personnel pour se protéger ?
« Les bonnes pratiques à adopter pour éviter le vol vont être bien sûr d’attacher l’antivol (normes SRA) à une partie fixe (poteau, etc.…). Si le 2 roues est stationné dans un parking public ou sur la voie publique, il faut éviter de le garer toujours au même endroit. Aussi, il faut préférer des rues fréquentées, éclairées ou télésurveillées, des parkings gardés ou des endroits éloignés de lieux de rassemblement. Pour augmenter les chances de retrouver un 2 roues volé, l’utilisation d’un traceur s’avère efficace. »
N’oubliez jamais : le meilleur antivol, c’est eux ! Un moment d’inattention peut suffire pour qu’un véhicule disparaisse. Le conducteur doit toujours prendre le temps de sécuriser le véhicule, même pour de courts arrêts. Parce qu’au-delà du matériel, c’est sa liberté qui est touchée par ces vols.
Votre client roule avec l’un de ces véhicules ?
Sensibilisez-le au risque vol en partageant ces recommandations.
Pour plus de conseils et bénéficier de nos bons plans partenaires, rendez-vous sur notre espace « Offre des partenaires » sur notre site « Le Courtier Du Motard ».
De la préparation physique des pilotes à la sélection rigoureuse des équipements, en passant par les spécificités des contrats d’assurance, tous les détails comptent pour profiter pleinement de chaque tour de circuit.
La conduite sur circuit permet aux passionnés de tester les limites de leur machine et de leur technique dans un environnement contrôlé. Avant de se lancer, une préparation minutieuse de la moto est essentielle, incluant la vérification des suspensions, des freins et des pneus. Le pilote doit revêtir un équipement complet de protection comprenant une combinaison en cuir, un casque, des gants, des bottes ainsi qu’une protection dorsale homologuée ou un gilet airbag (l’airbag est actuellement obligatoire dans 90% des compétitions).
Que ce soit en compétition ou en loisir, cette pratique offre une opportunité idéale pour améliorer la maîtrise technique et profiter pleinement de l’expérience de conduite.
Quels modèles de moto pour rouler sur la piste ?
Tous types de motos peuvent permettre de s’amuser sur la piste ! Les attentes et les préférences personnelles des pilotes, leur pratique en loisir ou en compétition vont les orienter vers un type de moto plutôt qu’un autre.
Voici quelques modèles phares pour aller chercher le chrono ou juste se faire plaisir en toute sécurité :
Motos Sportives
Ces motos sont construites pour la piste. Avec leur guidon bracelet, leurs repose-pieds rehaussés, la position du pilote est vers l’avant et permet de facilement se déhancher pour poser le genou.
Nous retrouvons par exemple les motos Yamaha R1 / R6 ou R7, Kawasaki ZX6R ou ZX10R, Honda CBR 1000 ou 600, Aprilia RSV4 1100
Roadster sportif
Plus orientés pour rouler sur route, les roadsters sont également à l’aise sur un circuit ! Mention spéciale aux roadsters tels que l’Aprilia Tuono ou la Ducati Streetfighter v4 qui ressemblent plus à une sportive sans carénage qu’à un véritable roadster. Sans être dans un tel extrême, des roadsters sportifs tels qu’une Triumph Street triple R, une Yamaha MT 09 SP ou une KTM 890 duke R vous permettront d’user vos sliders sur n’importe quel circuit et faire de l’ombre à pas mal de sportives.
Mais on le répète, chaque type moto peut vous permettre de vous amuser sur une journée piste en apportant ses propres défis et avantages sur un circuit et en offrant aux pilotes une large gamme de choix selon leurs objectifs de course et leur niveau de compétence. Par exemple, une Honda Hornet, une Yamaha MT-07 ou même une Kawasaki Z900 sont des motos qui figurent en haut des ventes de roadster. Elles sont peut-être moins exclusives, mais elles feront votre bonheur lors d’un roulage !
Comment se préparer à la conduite sur piste ?
La préparation d’une journée sur piste est cruciale. Voici quelques astuces pour arriver prêt et profiter pleinement de cette expérience.
Travaillez votre cardio : les sessions durent généralement 20 min. Cela paraît court mais l’effort est intense ! Un bon cardio vous permettra de tenir la distance et ne pas fatiguer trop vite. Vous pouvez pratiquer en amont du vélo ou de la course à pied pour vous entraîner. Notre astuce : pensez à bien respirer pendant votre session !
Travaillez votre résistance : Au cours de la journée, vos bras et vos jambes vont être très sollicités par les accélérations et les freinages. Des exercices ciblés sur les muscles sollicités, le tronc, les bras et les jambes vous permettront d’augmenter votre résistance et votre stabilité.
Hydratez-vous : L’hydratation est une priorité absolue. Il est recommandé de boire un verre d’eau toutes les 20 minutes afin de maintenir des performances optimales et de prévenir la déshydratation.
Mangez équilibré avant et pendant : Cela paraît évident mais à ne surtout pas négliger. Une journée sur piste est un véritable effort physique et doit être préparé comme tel. Favorisez les protéines, les lipides sains, les vitamines et les minéraux pour assurer un apport énergétique optimal.
Assurez-vous de venir accompagné, ce qui enrichira votre expérience, réduira la fatigue lors de vos trajets aller-retour et vous offrira assistance et encouragement tout au long de la journée.
Venir avec une moto sur remorque ou dans un van. Cela est un plus reposant et permet d’amener le matériel additionnel.
Au-delà de ces préparations individuelles, il existe des formations spécifiques telles que les journées 100% moto permettant d’améliorer sa conduite sur circuit pour la pratique en loisirs. Par ailleurs, un projet jeunesse en FSBK, issu de la collaboration entre la FFM et le GMT94, offre une formidable opportunité pour les jeunes talents. Ce projet, soutenu par la Mutuelle des Motards, vise à développer les compétences des jeunes pilotes en compétition et à leur fournir une plateforme pour exceller dans le sport motorisé.
Quels équipements utiliser ?
Sur le circuit, les pilotes doivent être équipés de manière adéquate pour assurer leur sécurité et optimiser leurs performances. Les équipements obligatoires incluent une combinaison en cuir, un casque homologué, des bottes en cuir, des gants intégralement en cuir (les gants doivent recouvrir de préférence le poignet) et une protection dorsale homologuée. Il est important de bien les adapter à sa morphologie afin d’être libre de ses mouvements et ne pas gêner la respiration ou le déploiement d’un airbag.
En plus de ces équipements de base, certains accessoires sont très fortement conseillés pour faciliter les interventions techniques, améliorer la sécurité et assurer une préparation optimale de la moto. Parmi ceux-ci, on retrouve l’utilisation de l’airbag – par exemple l’airbag d’In&Motion, qui est obligatoire dans la plupart des compétitions, des béquilles d’atelier avant et arrière pour un stationnement stable, un manomètre pour vérifier la pression des pneus, des couvertures chauffantes pour maintenir les pneus à la bonne température, ainsi que quelques outils essentiels pour effectuer des réglages rapides sur la moto en cas de besoin.
Il peut être également intéressant de prévoir des protections de la moto telles que des protections de carter, de cadre, leviers de rechange ou demi-guidons afin d’éviter de gâcher une journée de roulage pour une petite chute.
Quels pneus choisir ?
On peut distinguer plusieurs familles de pneus :
Pneus slicks : ces pneus sont destinés aux pilotes les plus aguerris qui recherchent la performance. Ils disposent d’une gomme tendre qui favorise l’adhérence au détriment de la longévité. Ils nécessitent d’être maintenus en permanence à une certaine température pour fonctionner : les couvertures chauffantes sont donc obligatoires. Les pneus slicks ne sont pas homologués pour rouler sur la route.
Pneus “pluie” : Concernant la conduite sur piste mouillée, très formatrice, elle apprendra la fluidité des trajectoires. Comme les pneus slicks, ils ne sont pas homologués pour la route et se détérioreront rapidement sur une piste sèche.
Pneus piste homologués route : généralement destinés aux motos hypersportives, ces pneus se rapprochent des pneus slick sur lesquels ont été mis quelques entailles pour les homologuer route.
Pneus sportifs : ce sont les pneus que l’on va retrouver sur les roadsters sportifs. Ils permettent de rouler au quotidien sur route et d’aller de temps en temps sur la piste.
Pour les pneus piste homologués route et les pneus sportifs, quelques adaptations de pression seront nécessaires entre la route et la piste. Il convient de se référer aux recommandations du fabricant selon le modèle du pneu. Pensez également à remettre le niveau de pression en mode “route” une fois la journée piste terminée.
Il est également possible de rouler avec des pneus qui ne font pas partie de cette liste ! Il vous faudra toutefois adapter votre conduite et faire attention à ce que les pneus ne surchauffent pas car ils vont être très sollicités !
Conduite sur circuit : quel contrat d’assurance choisir ?
À la Mutuelle des Motards, tous nos contrats d’assurance assurent la pratique occasionnelle sur piste hors compétition. Chaque motard qui souhaite s’exprimer en toute quiétude sur circuit (hors compétition) avec sa moto de route sera pris en charge sur le circuit avec les mêmes garanties que sur la route.
Il est important de rappeler que chaque moto doit être assurée sur la piste. Le contrat « Full Power » répond à cette demande. Il est spécialement conçu pour la conduite sur piste avec une moto non homologuée ou modifiée pour cette pratique. Il permet d’offrir des garanties adaptées aux besoins des amateurs de vitesse, excluant toute participation à des courses ou compétitions. Ce contrat commence par une responsabilité civile couvrant les dommages causés aux tiers, et il offre une couverture étendue pour les dommages corporels du pilote, avec différentes options de garantie allant jusqu’à 500 000 €, ainsi que la garantie Save pour le soutien des victimes de la route. De plus, des options spécifiques telles que la couverture des dommages pendant le transport jusqu’au circuit et une assistance complète au véhicule et aux personnes sont incluses. Avec ce contrat, les passionnés peuvent profiter pleinement de leur passion pour la vitesse en toute sécurité, sans craindre pour leur permis de conduire.
Au fil des années, la pratique du tout-terrain connait un engouement croissant.
Nous accompagnons tous les motards passionnés d’aventure et d’adrénaline à travers toutes les pratiques : cross, enduro, quad, trial et trail.
Comment s’équiper, où rouler, où se former, quelles compétitions existent ? Nous répondons à toutes vos questions !
Les types de motos dédiées au tout-terrain :
LE CROSS
Honda 250 CRF – Une édition 50ème anniversaire rappelant les légendaires CR des année 80 ! (Source : motocrossactionmag.com)
Type de véhicule : Des motos conçues pour encaisser toutes les contraintes des circuits de motocross, y compris des sauts de plusieurs mètres !
Puissance : Environ 45cv pour un 250 et 60cv pour un 450
Usage : Compétition ou loisir sportif
Où rouler : Uniquement sur les terrains de motocross homologués FFM ou terrains privés ayant eu une autorisation préfectorale.
Réglementation : Ces motos ne sont pas homologuées, elles ne disposent pas de carte grise et n’ont pas le droit de rouler sur la route, ni sur les chemins.
HUSQVARNA FE 350 – Une polyvalence et un compromis idéal entre la puissance d’une 450cm3 et l’agilité d’une 250cm3. (Source : motoconcess.com)
Type de véhicule : Des motos proches des motocross mais un peu plus « civilisées » pour pouvoir rouler dans les chemins et faire du franchissement.
Puissance : 30-35cv pour un 250 et 50-55cv pour un 450
Usage : Compétition / loisir sportif / loisir (balade sur les chemins)
Où rouler : Sur les terrains de motocross (avec une licence FFM) ou en dehors en respectant les règles de circulation. Partout sauf en hors-piste (voies non ouvertes à la circulation) ou chemins privés interdit d’accès et signalés. Dans les faits il n’est pas toujours facile de savoir sur quel type de chemin on se trouve ! Le bon réflexe ? Préparer ses sorties grâce au site web géoportail qui permet d’identifier les bons chemins (les zones Natura 2000 et les PNR (parc naturel régionaux)).
Réglementation : Les motos d’enduro sont homologuées. Elles peuvent donc circuler sur la route. Comme toutes motos homologuées, elle doit disposer d’une plaque d’immatriculation, d’un système d’éclairage, de clignotant, etc.
POLARIS SPORTSMAN 570 – Efficacité, confort et maniabilité, polyvalence ultime selon Polaris (Source : esprit-polaris.com)
Type de véhicule : Le quad dispose de points communs avec la moto mais ne se conduit pas de la même manière ! Il existe différents types de quad selon l’usage : travaux agricoles, loisir, pratique sportive ou encore tourisme (location).
Puissance : Difficile à estimer tellement les quad sont différents selon l’usage. On peut citer comme exemple le Yamaha 700 Raptor, quad sportif, qui fait 55cv. Cela peut monter jusqu’à 91cv avec le Can-am Renegade 1000R.
Usage : Loisir, travaux agricoles, pratique sportive ou encore tourisme (location).
Où rouler : Cela va dépendre si le quad est homologué ou pas. Si non homologué, les règles sont celles expliqué pour une motocross. Si homologué, les règles sont les mêmes que pour une enduro.
Réglementation : Comme pour les règles de circulation, la règlementation dépend de l’homologation et sera soit celle d’un motocross ou d’une enduro.
GASGAS 250 TXT Racing – la moto de trial la plus emblématique de la gamme GASGAS (Source : fplusd.org)
Type de véhicule : Particulièrement légère (60kg environ), ces motos sont capable de réaliser des franchissements plus impressionnant les uns que les autres.
Puissance : Peu de constructeurs communiquent sur la puissance de leur moto mais on peut estimer la puissance de ces motos entre 20 et 30cv selon les modèles.
Usage : Compétition / loisir sportif / loisir (balade sur les chemins)
Où rouler : Les règles sont les mêmes que pour motos d’enduros, expliqués précédemment.
Réglementation : Comme les motos d’enduro, les motos de trial sont homologuées. Elles peuvent donc circuler sur la route et doivent théoriquement disposer d’une plaque d’immatriculation, d’un système d’éclairage, de clignotant, etc.
Modèles phares (en différentes cylindrés) : EM Epure Race, Scorpa SC Factory, Beta EVO 2T
LE TRAIL
BMW 1300 GS – Revu fin 2023, la référence en matière du trail revient encore plus forte (Source : lerepairedesmotards.com)
Type de véhicule : Les trails sont de véritables couteaux suisses. A l’aise partout, elles peuvent circuler en ville, sur les petites routes de montagne, l’autoroute, et en même temps permettre de s’aventurer sur les chemins.
Puissance : 73cv pour une Yamaha Tenere 700, 145cv pour une BMW 1300 GS et 170cv pour une Ducati Multistrada V4 S.
Usage : Loisir, trajets quotidiens, Rallye Raid
Où rouler : Les aptitudes de ces motos sont bien sûr en retrait par rapport à un enduro mais elles permettent tout de même d’aller sur les chemins roulants, voir un peu cassant mais leur poids les limitent assez rapidement. Côté règlementation, ce sont les mêmes que pour un enduro.
Réglementation : Elles doivent respecter le code de la route comme toute moto homologuée et vous devez disposer des équipements obligatoires. Pour les règles de circulation, elles sont les mêmes que pour un enduro.
Dans l’univers du Trail, la moto n’est pas seulement un véhicule, c’est une extension du pilote. C’est la monture qui vous emmène à travers des terrains difficiles, des sauts redoutables et au cœur de l’adrénaline. Mais avec une multitudes d’options disponibles, comment choisir le compagnon parfait pour votre aventure en trail ? Où se former et se renseigner sur cette pratique ?
Pour débuter le trail, il faudra s’armer de patience car comme pour toute pratique, la clé pour progresser est l’entraînement.
Commencez par des parcours simples, peu techniques, que ce soit en forêt ou sur des sentiers locaux. Cela vous permettra d’assimiler les techniques fondamentales et de trouver votre rythme, simplifiant ainsi votre transition vers les parcours plus exigeants du trail.
Vous souhaitez vous perfectionner auprès de professionnels ? Voici plusieurs façons d’aller plus loin :
Venez découvrir les journées Open Mutuelle des Motards ! Des journées Open spécial Trail sont organisés pour ceux qui souhaitent s’initier ou se perfectionner dans un environnement sécurisé et encadré par des professionnels.
Les centres agréés Ténéré Center vous accueillent pour vous former au pilotage off-road de votre moto en toute sécurité : Maroc, France, Espagne.
Pour plus de conseils, n’hésitez pas à regarder les vidéos pratiques et équipements de :
Codever (COllectif de DEfense des loisirs VERts) est une association qui a pour but le maintien des activités de loisirs verts dans les espaces naturels et les espaces ruraux, la défense et l’information des usagers de ces espaces et des chemins, et la protection de l’environnement et des espaces ruraux. Elle agit depuis 30 ans pour défendre la liberté de circuler sur les chemins et l’accès à la nature au bénéfice de tous les sports de nature terrestres, particulièrement ceux utilisant un moyen de locomotion VTT, moto, quad, trottinettes tout-terrain…
Plonger au cœur de l’aventure tout-terrain avec la compétition Aveyronnaise Classic Mutuelle des Motards, une épopée enduro exceptionnelle qui incarne l’esprit de l’endurance et de la passion pour la moto. Portée par 500 bénévoles dévoués, cette aventure humaine, à la fois prestigieuse et accessible à tous, a réunit plus de 450 pilotes en 2023, du simple amateur passionné au Champion du monde chevronné.
Le Courtier Du Motard propose à son réseau de partenaires de distribuer l’offre 2 et 3 roues à moteur « prévention comprise » de la Mutuelle des Motards.
Grâce au partenariat avec Le Courtier Du Motard, filiale à 100% de la Mutuelle des Motards, le Groupe Leader Insurance poursuit sa diversification stratégique en lançant de nouvelles offres d’assurance […]
En 2025, nous gardons le cap avec des nouveautés conçues pour répondre à vos attentes, optimiser et renforcer notre efficacité au quotidien au bénéfice des sociétaires. Nous prévoyons d’autres […]
Toute l’équipe du Courtier Du Motard vous présente ses vœux les plus sincères et vous remercie pour votre confiance et votre fidélité. En 2025, notre priorité reste claire : […]
Les journées d’hiver, parmi les plus courtes de l’année, obligent de nombreux conducteurs de deux-roues et utilisateurs de nouvelles mobilités à circuler dans l’obscurité. Dans ces conditions, il est crucial […]